On 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲𝗿𝗺𝗼𝗺𝗲̀𝘁𝗿𝗲… 𝗼𝘂 𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 ?
𝗘𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝗻𝗶𝗼𝗿𝘀 : 𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲𝗿𝗺𝗼𝗺𝗲̀𝘁𝗿𝗲… 𝗼𝘂 𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 ? @P@Je lis beaucoup de réflexions, de débats, parfois des critiques virulentes, sur l’âge à partir duquel nous sommes considérés comme “seniors” dans le monde du travail : 45 ans ? 50 ans ? 55 ans ? 60 ans ? @p@ Why not… mais est-ce vraiment de ça qu’il faut débattre ? Qu’on nous classe comme faisant parti des “seniors” à 45, 55 ou 65 ans… ça ne change rien au sujet. Le problème n’est pas le mot ou l'âge. @P@Le sujet important, c’est le moment de bascule où, dans la vision collective professionnelle, les autres (ceux avec lesquels nous travaillons, ceux qui recrutent) commencent à projeter des préjugés sur :@p@ @P@• nos compétences, @p@ @P@• notre agilité, @p@ @P@• notre capacité à comprendre et utiliser la technologie, @p@ @P@• notre dynamisme, @p@ @P@• et bien sûr… notre “coût”. @p@ @P@ Ce basculement-là ne dépend d’aucun âge officiel, il dépend d’un seul paramètre : le regard de ceux qui nous entourent. @p@ Alors, plutôt que de vouloir faire disparaître le mot “senior” ou changer le seuil / l'âge qui définit un "senior", j’invite ceux qui se concentrent sur l'âge à déplacer le débat et réfléchir à : @P@▫️ Quelles solutions mettons-nous en place pour combattre les préjugés que le monde professionnel nous attribue, petit à petit, lorsque nous avançons en âge ?@p@ @P@▫️ Quelles actions concrètes développons-nous pour redonner de la valeur à l’expérience, pour reconnaître ce qu’elle apporte en maturité, en efficacité, en prise de recul, en stabilisation des équipes ?@p@ Parce que le moment où l’on devient moins employable à cause de l’âge, ce n’est pas un anniversaire, c’est le moment où les regards commencent à changer. @P@ Et ces regards, ils changent souvent sans bruit, sans mentionner l’âge : @p@ @P@- dans une phrase glissée en entretien, @p@ @P@- dans un CV mis de côté parce que “trop expérimenté”, @p@ @P@- dans une promotion confiée à plus jeune parce que “plus jeune”, @p@ @H2@𝗖𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝘁, 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗳𝗿𝗼𝗻𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗮̂𝗴𝗲, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲𝗿𝗺𝗼𝗺𝗲̀𝘁𝗿𝗲 ... 𝗲𝘁 𝗰𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗰̧𝗮 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗲𝗿𝗮 𝗯𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝘁𝗲𝗺𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 😉@h2@ Alors posons-nous la seule question qui vaille : "𝘗𝑜𝘶𝑟𝘲𝑢𝘰𝑖, 𝘤𝑜𝘭𝑙𝘦𝑐𝘵𝑖𝘷𝑒𝘮𝑒𝘯𝑡, 𝘤ℎ𝘢𝑛𝘨𝑒𝘰𝑛𝘴-𝘯𝑜𝘶𝑠 𝑛𝘰𝑡𝘳𝑒 𝑟𝘦𝑔𝘢𝑟𝘥 ?" Et aussi : "𝑄𝘶’𝘢𝑙𝘭𝑜𝘯𝑠-𝑛𝘰𝑢𝘴 𝘧𝑎𝘪𝑟𝘦, 𝑒𝘯𝑠𝘦𝑚𝘣𝑙𝘦, 𝑝𝘰𝑢𝘳 𝘲𝑢’𝑖𝘭 𝘯𝑒 𝑐𝘩𝑎𝘯𝑔𝘦 𝘱𝑎𝘴 𝘥𝑎𝘯𝑠 𝑐𝘦 𝘴𝑒𝘯𝑠-𝑙𝘢̀ ?" Parce que l’expérience n’est pas un frein, c’est un accélérateur. Encore faut-il accepter de le voir ! Vous êtes une entreprise et vous avez besoin de recruter ? contact@xpertzon.fr Article paru sur linkedin : (source en cours)